top of page

Burkina Faso

Correspondance (2018-2023)

« J’aimais le Burkina Faso, la force et la résilience de ses habitants… » : la lettre de Sophie Douce, journaliste expulsée du pays

Amadou*, j’ai honte. Je suis partie sans même te dire au revoir. Tout est allé si vite, depuis cet appel d’un numéro inconnu, le 31 mars au matin… Le Monde

Capture d’écran 2025-02-16 à 11.52_edited.jpg

Dans le nord du Burkina Faso, la bataille quotidienne des femmes pour quelques litres d’eau

Marcher, remplir, pousser. Chaque jour, le même ballet bringuebalant. A 180 km de la capitale, la « corvée d’eau », réservée aux femmes et aux enfants, est devenu un calvaire. Le Monde

Awa Sawadogo doit aller remplir sa barrique de 200 litres matin et soir pour les besoins d

Au Burkina Faso, les étudiants, « trahis » par les élites politiques, placent leurs espoirs dans la junte
 

Violences djihadistes, pauvreté, corruption, népotisme, mal-gouvernance : les jeunes, qui représentent les deux tiers de la population du pays, sont à bout. Le Monde

Capture d’écran 2025-04-24 à 15.32_edite

Au Burkina Faso, les larmes des femmes de militaires tués dans la lutte antiterroriste

Des milliers de soldats sont morts au front dans la lutte antiterroriste. Au Burkina Faso, perdre son mari est vécu comme une condamnation. Les veuves souffrent de stigmatisation et peinent à refaire leur vie. Le Monde

Capture d’écran 2025-04-24 à 15.15.42.png

Au Burkina Faso, l’essor périlleux des milices villageoises face aux djihadistes

A Kongoussi, dans le nord du pays, des civils prennent les armes face aux attaques terroristes. Et si, loin des villes, du contrôle des autorités, un drame se nouait en silence ? Le Monde

DSC06166.JPG

« Une bonne bière, un morceau de viande, ça soulage la tête » : à Ouaga, les maquis font de la résistance

Des chaises en plastique et des bières fraiches : à Ouaga, cela suffit pour ouvrir son « maquis », le nom de ces bars à ciel ouvert. Lieu de solidarité et de débats, ils font office d’arbre à palabres urbain.

Le Monde

Serge le gérant du maquis Adjoba, dans le quartier de Ouidi, à Ouaga.jpeg
bottom of page