Sophie Douce
Journaliste

Burkina Faso
Correspondance (2018-2023)
« J’aimais le Burkina Faso, la force et la résilience de ses habitants… » : la lettre de Sophie Douce, journaliste expulsée du pays
Amadou*, j’ai honte. Je suis partie sans même te dire au revoir. Tout est allé si vite, depuis cet appel d’un numéro inconnu, le 31 mars au matin… Le Monde
Dans le nord du Burkina Faso, la bataille quotidienne des femmes pour quelques litres d’eau
Marcher, remplir, pousser. Chaque jour, le même ballet bringuebalant. A 180 km de la capitale, la « corvée d’eau », réservée aux femmes et aux enfants, est devenu un calvaire. Le Monde

Au Burkina Faso, les étudiants, « trahis » par les élites politiques, placent leurs espoirs dans la junte
Violences djihadistes, pauvreté, corruption, népotisme, mal-gouvernance : les jeunes, qui représentent les deux tiers de la population du pays, sont à bout. Le Monde
Au Burkina Faso, les larmes des femmes de militaires tués dans la lutte antiterroriste
Des milliers de soldats sont morts au front dans la lutte antiterroriste. Au Burkina Faso, perdre son mari est vécu comme une condamnation. Les veuves souffrent de stigmatisation et peinent à refaire leur vie. Le Monde
Au Burkina Faso, l’essor périlleux des milices villageoises face aux djihadistes
A Kongoussi, dans le nord du pays, des civils prennent les armes face aux attaques terroristes. Et si, loin des villes, du contrôle des autorités, un drame se nouait en silence ? Le Monde
« Une bonne bière, un morceau de viande, ça soulage la tête » : à Ouaga, les maquis font de la résistance
Des chaises en plastique et des bières fraiches : à Ouaga, cela suffit pour ouvrir son « maquis », le nom de ces bars à ciel ouvert. Lieu de solidarité et de débats, ils font office d’arbre à palabres urbain.




